Après vision complète du match, je comprend mieux pourquoi cet abruti de Ruiz a trouvé l'arbitre très bon .....il ne nous a pas manqué le mec ....
Ceci dit les très bonnes entrée du banc nous font un bien fou, Pichon, Tabarrot, Dreno, Sauzaret, Michet, Arnold.... impériaux !!!!
S25/26 - J15 - US Carcassonne vs Soyaux Angoulême XV Charente
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misterrugby
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Re: S25/26 - J15 - US Carcassonne vs Soyaux Angoulême XV Charente
C'est ça un en avant sur la passe longue et sur la dernière, la remise intérieur est limite..Pierre a écrit : 21 déc. 2025, 12:50 Je viens de regarder la 1ère mi-temps...on est beaucoup sanctionné, trop c est vrai, mais on fait quand même beaucoup de fautes..ce n'est pas un manque d envie...
Et sur l essai d Angoulême il y a un en avant d un mètre !!
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misterrugby
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Re: S25/26 - J15 - US Carcassonne vs Soyaux Angoulême XV Charente
C'est ça un en avant sur la passe longue et sur la dernière, la remise intérieur est limite..Pierre a écrit : 21 déc. 2025, 12:50 Je viens de regarder la 1ère mi-temps...on est beaucoup sanctionné, trop c est vrai, mais on fait quand même beaucoup de fautes..ce n'est pas un manque d envie...
Et sur l essai d Angoulême il y a un en avant d un mètre !!
Après et même si Ruiz dit le contraire l'arbitrage a été à charge tout le match
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Re: S25/26 - J15 - US Carcassonne vs Soyaux Angoulême XV Charente
Rugby – Pro D2 : pour finir l’année 2025, contre Soyaux Angoulême, Carcassonne a fait appel à son caractère afin de relancer la lutte pour le maintien
Pénalisés à l’extrême, menés au score durant près de 70 minutes, en infériorité numérique après un carton rouge, l’US Carcassonne a dû puiser au plus profond de lui-même pour décrocher un troisième succès longtemps inespéré, contre Soyaux Angoulême vendredi soir à Domec (35-31).
Les Carcassonnais ne sont jamais aussi bons que dans l’adversité. Vendredi soir dernier, dans le dernier match de l’année civile à ne pas manquer face à Soyaux Angoulême, ils ne pouvaient être davantage au pied du mur. Durement arbitré par M. Rozier et ses assesseurs, M. Hadj Bachir à la vidéo compris (deux des trois essais charentais furent entachés d’en-avant, NDLR), menés de 17 unités à la 49e minute (14-31), les Audois ont dû sortir vingt dernières minutes de dingue pour renverser une situation jusque-là bien compromise.
Au profit notamment de l’apport d’un banc ô combien décisif (Tabarot, Arnold, Oulaï, Dreno, Pichon, Michet, Hoarau, Sauzaret, NDLR), mais aussi entre autres, de l’ouvreur Johnny McPhillips à la baguette, transfiguré en position de centre, ils allaient réaliser une incroyable remontada. Et infliger en 14 minutes un 21-0 à des visiteurs médusés, hachés menu et contraints finalement de poser les deux genoux à terre (35-31).
"C’est aujourd’hui ou jamais", pouvait-on entendre ici et là dans les travées de Domec avant le début de ce match "à la vie, à la mort". Comme on dit dans le jargon rugbystique, celle-là, les Audois sont allés se la chercher et ils ne la doivent à personne d’autre. Sauf à eux-mêmes. Métamorphosés après le carton rouge délivré logiquement par M. Rozier à leur coéquipier Lopeti Timani (48e), les jaune et noir, vent dans le dos durant le second acte et encore plein d’énergie, allaient enfin tenir davantage le ballon, avoir des sorties efficaces, mettre beaucoup plus de pression sur leurs adversaires et être beaucoup plus propre dans leur jeu.
Tant et si bien, comme disait un de nos chers confrères, après être tombé sur le chien, la cabane tombait cette fois sur le chien charentais… Et ce dernier allait finir par y laisser la peau. Dominés et alors sur le reculoir, les protégés du manager et ancien arbitre Alexandre Ruiz couraient à leur perte. Une fin tellement heureuse pour des Carcassonnais irrésistibles et sur leur petit nuage.
"Quand tu fais une première mi-temps à douze fautes je crois, on savait que ça allait être compliqué. Après, le problème, c’est qu’on se saccage un peu tout seul", regrettait le demi de mêlée Gaëtan Pichon en fin de rencontre. "La pièce est tombée du bon côté, mais c’est vrai que 17 fautes à la fin du match, c’est compliqué contre des grosses équipes. On est attentiste, chacun fait la sienne et c’est rageant", tranche, à ses côtés, l’entraîneur des trois-quarts, Mehadji Tidjini.
"C’est un match référence car on le gagne à la fin", affirmait-il en conférence de presse. "Et que c’est important de gagner. Tu peux faire de bon match, mais si tu ne gagnes pas, il n’y a aucun match référence. Celui d’Oyonnax était intéressant (victoire 19-17). Celui-là aussi est intéressant parce que l’on revient, au-delà de l’énergie. On est dans des phases de jeu construites. On a été beaucoup mieux en deuxième mi-temps". Et surtout dans les 20 dernières minutes durant lesquels ses troupes ont été les maîtres du terrain tant dans l’engagement que dans les initiatives.
Grâce à leur équipe tout terrain, voire caméléon comme l’a démontré sur le dernier essai carcassonnais le pilier droit Théo Sauzaret, sur une passe en bout de ligne digne de Jo Maso, comme se plaît à le dire Mehadji Tidjini, les Audois ont achevé 2025 sur une note positive. Et ont prouvé que la course au maintien est bien loin d’être terminée. Bien au contraire. Notamment avec peut-être le calendrier le plus favorable des formations du bas de tableau. Vivement 2026.
Publié le 20/12/2025 à 15:59
Pierre Cathala
https://www.lindependant.fr/2025/12/20/ ... 123055.php
Pénalisés à l’extrême, menés au score durant près de 70 minutes, en infériorité numérique après un carton rouge, l’US Carcassonne a dû puiser au plus profond de lui-même pour décrocher un troisième succès longtemps inespéré, contre Soyaux Angoulême vendredi soir à Domec (35-31).
Les Carcassonnais ne sont jamais aussi bons que dans l’adversité. Vendredi soir dernier, dans le dernier match de l’année civile à ne pas manquer face à Soyaux Angoulême, ils ne pouvaient être davantage au pied du mur. Durement arbitré par M. Rozier et ses assesseurs, M. Hadj Bachir à la vidéo compris (deux des trois essais charentais furent entachés d’en-avant, NDLR), menés de 17 unités à la 49e minute (14-31), les Audois ont dû sortir vingt dernières minutes de dingue pour renverser une situation jusque-là bien compromise.
Au profit notamment de l’apport d’un banc ô combien décisif (Tabarot, Arnold, Oulaï, Dreno, Pichon, Michet, Hoarau, Sauzaret, NDLR), mais aussi entre autres, de l’ouvreur Johnny McPhillips à la baguette, transfiguré en position de centre, ils allaient réaliser une incroyable remontada. Et infliger en 14 minutes un 21-0 à des visiteurs médusés, hachés menu et contraints finalement de poser les deux genoux à terre (35-31).
"C’est aujourd’hui ou jamais", pouvait-on entendre ici et là dans les travées de Domec avant le début de ce match "à la vie, à la mort". Comme on dit dans le jargon rugbystique, celle-là, les Audois sont allés se la chercher et ils ne la doivent à personne d’autre. Sauf à eux-mêmes. Métamorphosés après le carton rouge délivré logiquement par M. Rozier à leur coéquipier Lopeti Timani (48e), les jaune et noir, vent dans le dos durant le second acte et encore plein d’énergie, allaient enfin tenir davantage le ballon, avoir des sorties efficaces, mettre beaucoup plus de pression sur leurs adversaires et être beaucoup plus propre dans leur jeu.
Tant et si bien, comme disait un de nos chers confrères, après être tombé sur le chien, la cabane tombait cette fois sur le chien charentais… Et ce dernier allait finir par y laisser la peau. Dominés et alors sur le reculoir, les protégés du manager et ancien arbitre Alexandre Ruiz couraient à leur perte. Une fin tellement heureuse pour des Carcassonnais irrésistibles et sur leur petit nuage.
"Quand tu fais une première mi-temps à douze fautes je crois, on savait que ça allait être compliqué. Après, le problème, c’est qu’on se saccage un peu tout seul", regrettait le demi de mêlée Gaëtan Pichon en fin de rencontre. "La pièce est tombée du bon côté, mais c’est vrai que 17 fautes à la fin du match, c’est compliqué contre des grosses équipes. On est attentiste, chacun fait la sienne et c’est rageant", tranche, à ses côtés, l’entraîneur des trois-quarts, Mehadji Tidjini.
"C’est un match référence car on le gagne à la fin", affirmait-il en conférence de presse. "Et que c’est important de gagner. Tu peux faire de bon match, mais si tu ne gagnes pas, il n’y a aucun match référence. Celui d’Oyonnax était intéressant (victoire 19-17). Celui-là aussi est intéressant parce que l’on revient, au-delà de l’énergie. On est dans des phases de jeu construites. On a été beaucoup mieux en deuxième mi-temps". Et surtout dans les 20 dernières minutes durant lesquels ses troupes ont été les maîtres du terrain tant dans l’engagement que dans les initiatives.
Grâce à leur équipe tout terrain, voire caméléon comme l’a démontré sur le dernier essai carcassonnais le pilier droit Théo Sauzaret, sur une passe en bout de ligne digne de Jo Maso, comme se plaît à le dire Mehadji Tidjini, les Audois ont achevé 2025 sur une note positive. Et ont prouvé que la course au maintien est bien loin d’être terminée. Bien au contraire. Notamment avec peut-être le calendrier le plus favorable des formations du bas de tableau. Vivement 2026.
Publié le 20/12/2025 à 15:59
Pierre Cathala
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Re: S25/26 - J15 - US Carcassonne vs Soyaux Angoulême XV Charente
Rugby – Pro D2 : "La pièce est tombée du bon côté", Mehadji Tidjini et l’US Carcassonne ont pu regoûter à la victoire après un match fou
Après la fabuleuse remontée de l’US Carcassonne, à 14 contre 15 contre Soyaux-Angoulême (35-31), Mehadji Tidjini, entraîneur des trois quarts, a fait part de sa satisfaction, en conférence de presse.
Qu’est-ce qui a été dit à la mi-temps, après une première mi-temps comme ça (7-19), avec beaucoup de fautes et deux cartons jaunes ?
Ce qu’on a dit, c’est qu’il fallait se reconcentrer sur nous, faire moins de fautes, on était contre le vent, donc il ne fallait pas douter, on allait avoir le vent en deuxième mi-temps. Il fallait qu’on tienne un peu plus le ballon juste, donc c’est ce que les joueurs ont fait. Après, on le sait, à chaque match, on a un collectif qui est soudé, qui met beaucoup d’énergie dans ce qu’il fait, donc on savait qu’en deuxième mi-temps, on allait mettre encore plus d’énergie, et qu’à un moment donné, on aurait des balles pour revenir.
Est-ce votre match référence en Pro D2 pour terminer cette belle année 2025 pour le club ?
Oui, une grosse année 2025, et d’ailleurs on en a parlé la veille du match tous ensemble, on a vu une vidéo là-dessus qui a bien retracé la fin de saison dernière. Après, match référence, oui, parce que tu le gagnes à la fin, et que c’est important de gagner. Tu peux faire des bons matchs, si tu ne gagnes pas, il n’y a aucun match référence. Celui contre Oyonnac était intéressant, celui-là aussi est intéressant, parce qu’on revient, au-delà de l’énergie, on est dans des phases de jeu qui sont construites.
On a été beaucoup mieux là-dessus, on a eu des sorties de camp qui ont été beaucoup plus intéressantes en deuxième mi-temps, on a mis beaucoup de pression, donc on a construit cette deuxième mi-temps comme on aurait dû construire la première, et ça nous a permis de gagner. C’est une victoire qui permet à tout le monde de partir en vacances avec l’esprit un peu plus léger.
Quand Lopeti Timani prend son carton rouge (48e), on a l’impression que c’est finalement à ce moment que vous avez réussi à reprendre le dessus sur votre adversaire…
On parle souvent de scénario. Le carton rouge en est un autre, et je pense qu’on a une équipe un peu tout terrain, qui est prête à tous les scénarios et toutes les pistes. Celui-là a été compliqué parce que c’était aussi un moment où on commençait à être beaucoup mieux à 15… Mais tu prends ce rouge, et quand je dis qu’on a une équipe hyper soudée, ce qu’ils ont fait, c’est qu’ils ont switché, ce qu’on n’arrivait pas à faire avant, et quand tu es persuadé d’aller chercher des choses, ce qui a changé par rapport à certains matchs à domicile, la pièce est tombée du bon côté.
Une rencontre accrochée, tendue, qu’il a fallu faire basculer de votre côté dans les dix dernières minutes, qu’est-ce qui a fait la différence ?
Aujourd’hui, ce qui a été intéressant, on a été en dessous de nos jeux au pied haut, à chaque ballon récupéré, on s’est vite mis en place, on a vite rechargé, donc c’était plutôt intéressant. Et après, on a eu des mecs, des finisseurs qui sont rentrés, qui avaient les crocs et qui, aujourd’hui, nous ont fait du bien et ont fait sa différence. On leur a mis beaucoup de pression, on le voit sur cet arrière qui a fait beaucoup d’en avants, c’est parce qu’on avait des mecs en dessous. Là, on a eu un jeu au pied hyper précis, et dans cette zone-là, chacun a respecté son rôle, ce qui nous a permis de récupérer vite le ballon et de mettre des temps de jeu, ce qu’on n’a pas réussi à faire en premier mi-temps.
Encore lanterne rouge, à égalité de points avec Dax (17 pts), est-ce un avantage de recevoir vos principaux adversaires directs sur la phase retour ?
On aura des réceptions contre des concurrents directs. Donc c’est à nous de bien continuer à travailler et de les recevoir. Mais après, il va aussi falloir que tu ailles chercher des points aussi à l’extérieur. Parce qu’on a dit qu’on voulait batailler partout.
Après cette victoire, on voit qu’on a un groupe hyper intéressant et qu’on se maintiendra. Et ce soir, on va partir en vacances, manger du foie gras, du magret et on reviendra encore plus combatif.
Publié le 20/12/2025 à 08:18 , mis à jour à 08:19
Recueilli par Jules Poquet
https://www.lindependant.fr/2025/12/20/ ... 122164.php
Après la fabuleuse remontée de l’US Carcassonne, à 14 contre 15 contre Soyaux-Angoulême (35-31), Mehadji Tidjini, entraîneur des trois quarts, a fait part de sa satisfaction, en conférence de presse.
Qu’est-ce qui a été dit à la mi-temps, après une première mi-temps comme ça (7-19), avec beaucoup de fautes et deux cartons jaunes ?
Ce qu’on a dit, c’est qu’il fallait se reconcentrer sur nous, faire moins de fautes, on était contre le vent, donc il ne fallait pas douter, on allait avoir le vent en deuxième mi-temps. Il fallait qu’on tienne un peu plus le ballon juste, donc c’est ce que les joueurs ont fait. Après, on le sait, à chaque match, on a un collectif qui est soudé, qui met beaucoup d’énergie dans ce qu’il fait, donc on savait qu’en deuxième mi-temps, on allait mettre encore plus d’énergie, et qu’à un moment donné, on aurait des balles pour revenir.
Est-ce votre match référence en Pro D2 pour terminer cette belle année 2025 pour le club ?
Oui, une grosse année 2025, et d’ailleurs on en a parlé la veille du match tous ensemble, on a vu une vidéo là-dessus qui a bien retracé la fin de saison dernière. Après, match référence, oui, parce que tu le gagnes à la fin, et que c’est important de gagner. Tu peux faire des bons matchs, si tu ne gagnes pas, il n’y a aucun match référence. Celui contre Oyonnac était intéressant, celui-là aussi est intéressant, parce qu’on revient, au-delà de l’énergie, on est dans des phases de jeu qui sont construites.
On a été beaucoup mieux là-dessus, on a eu des sorties de camp qui ont été beaucoup plus intéressantes en deuxième mi-temps, on a mis beaucoup de pression, donc on a construit cette deuxième mi-temps comme on aurait dû construire la première, et ça nous a permis de gagner. C’est une victoire qui permet à tout le monde de partir en vacances avec l’esprit un peu plus léger.
Quand Lopeti Timani prend son carton rouge (48e), on a l’impression que c’est finalement à ce moment que vous avez réussi à reprendre le dessus sur votre adversaire…
On parle souvent de scénario. Le carton rouge en est un autre, et je pense qu’on a une équipe un peu tout terrain, qui est prête à tous les scénarios et toutes les pistes. Celui-là a été compliqué parce que c’était aussi un moment où on commençait à être beaucoup mieux à 15… Mais tu prends ce rouge, et quand je dis qu’on a une équipe hyper soudée, ce qu’ils ont fait, c’est qu’ils ont switché, ce qu’on n’arrivait pas à faire avant, et quand tu es persuadé d’aller chercher des choses, ce qui a changé par rapport à certains matchs à domicile, la pièce est tombée du bon côté.
Une rencontre accrochée, tendue, qu’il a fallu faire basculer de votre côté dans les dix dernières minutes, qu’est-ce qui a fait la différence ?
Aujourd’hui, ce qui a été intéressant, on a été en dessous de nos jeux au pied haut, à chaque ballon récupéré, on s’est vite mis en place, on a vite rechargé, donc c’était plutôt intéressant. Et après, on a eu des mecs, des finisseurs qui sont rentrés, qui avaient les crocs et qui, aujourd’hui, nous ont fait du bien et ont fait sa différence. On leur a mis beaucoup de pression, on le voit sur cet arrière qui a fait beaucoup d’en avants, c’est parce qu’on avait des mecs en dessous. Là, on a eu un jeu au pied hyper précis, et dans cette zone-là, chacun a respecté son rôle, ce qui nous a permis de récupérer vite le ballon et de mettre des temps de jeu, ce qu’on n’a pas réussi à faire en premier mi-temps.
Encore lanterne rouge, à égalité de points avec Dax (17 pts), est-ce un avantage de recevoir vos principaux adversaires directs sur la phase retour ?
On aura des réceptions contre des concurrents directs. Donc c’est à nous de bien continuer à travailler et de les recevoir. Mais après, il va aussi falloir que tu ailles chercher des points aussi à l’extérieur. Parce qu’on a dit qu’on voulait batailler partout.
Après cette victoire, on voit qu’on a un groupe hyper intéressant et qu’on se maintiendra. Et ce soir, on va partir en vacances, manger du foie gras, du magret et on reviendra encore plus combatif.
Publié le 20/12/2025 à 08:18 , mis à jour à 08:19
Recueilli par Jules Poquet
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Re: S25/26 - J15 - US Carcassonne vs Soyaux Angoulême XV Charente
Rugby – Pro D2 : "On a joué comme si on n’avait rien à perdre, et c’est un peu ce qui nous a fait gagner", malgré une dernière demi-heure à 14 contre 15 l’US Carcassonne est allée arracher un succès renversant
Bien trop pénalisés, réduits à quatorze après un carton rouge reçu par Lopeti Timani, les Carcassonnais filaient vers un nouveau revers, avant de trouver des ressources incroyables pour décrocher un succès dans les derniers instants.
Ce devait être celui-là. Après les déroutes contre Provence Rugby (48-16), Vannes (15-52) et Brive (53-16), trois équipes qui boxent dans la catégorie poids lourds, la venue de Soyaux-Angoulême, poids moyen de ce championnat, devait laisser une chance aux Carcassonnais, poids plume, de regoûter à la victoire avant de goûter à la dinde.
Malheureusement pour Bernard Goutta et ses hommes, et comme le technicien aime à le répéter semaine après semaine dans ses discours, un match dure 80 minutes. Celui contre Soyaux-Angoulême, démarrait bien mal pour les jaune et noir, face au vent, qui offrait l’occasion à Saubusse, buteur charentais de sanctionner les locaux par deux fois avec sa patte gauche. Les Carcassonnais n’avaient pas la meilleure des relations avec Jérémy Rozier, l’arbitre de la rencontre, se mettant à la faute à cinq reprises dans les dix premières minutes. D’ailleurs pour la sixième faute audoise, juste avant le quart d’heure de jeu, l’homme au sifflet, habitué aux pelouses de Top 14, sortait un carton contre Bilal Fadli, coupable d’un grattage irrégulier. Une dizaine de minutes plus tard et un essai jaune et noir plus tard, la 7e pénalité de l’USC se convertissait encore en biscotte, cette fois pour un déblayage à l’épaule de Fabien Lorenzon. Puis cinq autres pénalités pour un score de 7-19 en faveur des visiteurs. Des sifflets à la pause pour les 12 pénalités concédés par Romain Manchia et ses coéquipiers, mais aussi en direction de M.Rozier, qui a titillé la quérulence des travées de Domec.
On se voyait déjà titrer, une fois de plus : "L’USC paie son indiscipline". D’autant plus quand, Lopeti Timani, certainement le meilleur Carcassonnais sur la première période, recevait un carton rouge pour une charge coude en avant sur Morand-Bruyat. Menés 14-31, après un essai dans la foulée de Texier, on donnait peu cher de la peau des Audois dans une dernière demi-heure qui ne leur a pas souvent réussi cette saison.
Gaetan Pichon, dynamique depuis son entrée, contrait un box kick charentais pour signer un début de révolte, en aplatissant son essai (21-31, 64e). Puis, dans le sillage d’un banc omniprésent, où les Arnold, Tabarot, Sauzaret, Oulai ou encore Dréno faisaient feu de tout bois, l’US Carcassonne continuait de se rapprocher de l’en-but adverse. C’est après un maul, une des satisfactions de la soirée, que Yan Tabarot plongeait derrière la ligne (28-31, 68e). L'étau se resserrait ensuite à mesure que les supporters carcassonnais se levaient de leurs sièges pour pousser derrière leurs favoris. C’est finalement au prix d’une action du bout du monde, que Maxime Gianet, bien décalé par Paul Gadéa, arrivait en terre promise (35-31), provoquant une liesse populaire, presque égale au titre de Nationale obtenu de haute lutte la saison dernière. Ce n’est pas un titre, mais peut-être le début de quelque chose d’autre, l’USC termine 2025 comme elle l’a vécu, sur une excellente note.
"On est tombé sur une équipe qui jouait sa vie, on le savait, on en avait parlé, confiait Alexandre Ruiz, le manager de Soyaux-Angoulême après la rencontre. Il faut savoir accepter la défaite. Je me dois aujourd’hui de dire que Carcassonne a gagné le match, il faut leur dire bravo"
"J’ai l’impression qu’on n’a pas forcément paniqué, même quand on a pris le rouge, ajoutait Gaëtan Pichon, demi de mêlée remplaçant, décisif lors de son entrée. On a joué comme si on n’avait rien à perdre, et c’est un peu ce qui nous a fait gagner." Sourires aux lèvres, Mehadji Tidjini concluait, amusé : "On va partir en vacances, manger du foie gras, du magret et on reviendra encore plus combatif", le maintien en tête
Publié le 19/12/2025 à 22:44 , mis à jour le 20/12/2025 à 08:21
Jules Poquet
https://www.lindependant.fr/2025/12/19/ ... 121939.php
Bien trop pénalisés, réduits à quatorze après un carton rouge reçu par Lopeti Timani, les Carcassonnais filaient vers un nouveau revers, avant de trouver des ressources incroyables pour décrocher un succès dans les derniers instants.
Ce devait être celui-là. Après les déroutes contre Provence Rugby (48-16), Vannes (15-52) et Brive (53-16), trois équipes qui boxent dans la catégorie poids lourds, la venue de Soyaux-Angoulême, poids moyen de ce championnat, devait laisser une chance aux Carcassonnais, poids plume, de regoûter à la victoire avant de goûter à la dinde.
Malheureusement pour Bernard Goutta et ses hommes, et comme le technicien aime à le répéter semaine après semaine dans ses discours, un match dure 80 minutes. Celui contre Soyaux-Angoulême, démarrait bien mal pour les jaune et noir, face au vent, qui offrait l’occasion à Saubusse, buteur charentais de sanctionner les locaux par deux fois avec sa patte gauche. Les Carcassonnais n’avaient pas la meilleure des relations avec Jérémy Rozier, l’arbitre de la rencontre, se mettant à la faute à cinq reprises dans les dix premières minutes. D’ailleurs pour la sixième faute audoise, juste avant le quart d’heure de jeu, l’homme au sifflet, habitué aux pelouses de Top 14, sortait un carton contre Bilal Fadli, coupable d’un grattage irrégulier. Une dizaine de minutes plus tard et un essai jaune et noir plus tard, la 7e pénalité de l’USC se convertissait encore en biscotte, cette fois pour un déblayage à l’épaule de Fabien Lorenzon. Puis cinq autres pénalités pour un score de 7-19 en faveur des visiteurs. Des sifflets à la pause pour les 12 pénalités concédés par Romain Manchia et ses coéquipiers, mais aussi en direction de M.Rozier, qui a titillé la quérulence des travées de Domec.
On se voyait déjà titrer, une fois de plus : "L’USC paie son indiscipline". D’autant plus quand, Lopeti Timani, certainement le meilleur Carcassonnais sur la première période, recevait un carton rouge pour une charge coude en avant sur Morand-Bruyat. Menés 14-31, après un essai dans la foulée de Texier, on donnait peu cher de la peau des Audois dans une dernière demi-heure qui ne leur a pas souvent réussi cette saison.
Gaetan Pichon, dynamique depuis son entrée, contrait un box kick charentais pour signer un début de révolte, en aplatissant son essai (21-31, 64e). Puis, dans le sillage d’un banc omniprésent, où les Arnold, Tabarot, Sauzaret, Oulai ou encore Dréno faisaient feu de tout bois, l’US Carcassonne continuait de se rapprocher de l’en-but adverse. C’est après un maul, une des satisfactions de la soirée, que Yan Tabarot plongeait derrière la ligne (28-31, 68e). L'étau se resserrait ensuite à mesure que les supporters carcassonnais se levaient de leurs sièges pour pousser derrière leurs favoris. C’est finalement au prix d’une action du bout du monde, que Maxime Gianet, bien décalé par Paul Gadéa, arrivait en terre promise (35-31), provoquant une liesse populaire, presque égale au titre de Nationale obtenu de haute lutte la saison dernière. Ce n’est pas un titre, mais peut-être le début de quelque chose d’autre, l’USC termine 2025 comme elle l’a vécu, sur une excellente note.
"On est tombé sur une équipe qui jouait sa vie, on le savait, on en avait parlé, confiait Alexandre Ruiz, le manager de Soyaux-Angoulême après la rencontre. Il faut savoir accepter la défaite. Je me dois aujourd’hui de dire que Carcassonne a gagné le match, il faut leur dire bravo"
"J’ai l’impression qu’on n’a pas forcément paniqué, même quand on a pris le rouge, ajoutait Gaëtan Pichon, demi de mêlée remplaçant, décisif lors de son entrée. On a joué comme si on n’avait rien à perdre, et c’est un peu ce qui nous a fait gagner." Sourires aux lèvres, Mehadji Tidjini concluait, amusé : "On va partir en vacances, manger du foie gras, du magret et on reviendra encore plus combatif", le maintien en tête
Publié le 19/12/2025 à 22:44 , mis à jour le 20/12/2025 à 08:21
Jules Poquet
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Re: S25/26 - J15 - US Carcassonne vs Soyaux Angoulême XV Charente
Rugby – Pro D2 : Carcassonne, face à Soyaux-Angoulême, revient à la vie
Après neuf matches sans succès (8 défaites, un nul), les Canaris s’offrent leur 3e victoire de la saison et de l’air au classement. Hier soir, Carcassonne a battu Soyaux-Angoulême à Domec (35-31).
Quel scénario ! Quel dénouement… Quel brio… Après avoir été menés (7-24) à la 41e, puis (14-31) à la 49e, les Carcassonnais, pourtant en infériorité numérique consécutivement au carton rouge récolté par leur troisième ligne Lopeti Timani (48e) sont parvenus à renverser la table. Celle-là, elle est belle ! Bien mal récompensées de leurs efforts jusqu’alors, les troupes de Bernard Goutta et de Mehadji Tidjini ont conjuré le mauvais sort hier soir en venant à bout de Charentais plutôt à leur avantage ces derniers temps.
Mais Dieu qu’il a fallu s’employer face à l’une des meilleures formations de Pro D2 en déplacement (victoires à Brive, Mont-de-Marsan et Béziers). Faisant fi de tous leurs doutes du moment, les joueurs du chef-lieu audois ont livré une prestation dingue, solide et courageuse, avec toujours autant de générosité dans le combat et l’abnégation, mais cette fois avec le succès au bout. Le manager carcassonnais Bernard Goutta l’avait affirmé en conférence de presse d’avant match : "Je sens que notre saison va commencer contre Soyaux-Angoulême".
Dans ce match que ses troupes ne devaient pas perdre, les débats démarraient sur un faux rythme. Voire timidement. Vent dans le dos, Soyaux-Angoulême cherchait exclusivement à éclairer le jeu à grands coups de chandelles et à occuper le terrain adverse. Tandis que les Canaris cherchaient bien à répondre présents et à remonter le cuir, mais sans trop à y parvenir. Pire pour eux, ils se faisaient régulièrement prendre par la patrouille et donc M. Rozier, roi du sifflet hier soir. Et pas toujours, malheureusement des bonnes décisions.
Toujours est-il que cela permettait au canonnier visiteur Emmanuel Saubusse de faire apprécier son talent de buteur (0-6). Pour sa part, Carcassonne répliquait tout en puissance par son talonneur, plein de rage, Baptiste Moreno : (7-6 à la 22e). Le match était lancé. Hélas pour les Audois, M. Rozier ne captait pas deux en-avant successifs en attaque placée des visiteurs et validait sous la bronca de Domec à l’ailier Eoghan Barrett (7-13 à la 26e). Puis (7-19) à la pause sanctionnant l’indiscipline…
Constatée en tout cas par M. Rozier. Avec un retard de douze unités à la mi-temps, les Carcassonnais démarraient de la plus mauvaises des manières le second acte. Ils se loupaient à la réception du coup d’envoi, Soyaux-Angoulême récupérait le cuir, et son centre Ledua Mau exécutait un rasant payant pour son ailier Eoghan Barrett (7-24 à la 41e). Vexés, les Audois réagissaient certes quasi immédiatement. Une pénaltouche, puis une deuxième, et tout en puissance le deuxième ligne Sitaleki Timani passait la ligne (14-24). Le public de Domec reprenait un peu d’espoir. Un espoir de bien courte durée, puisqu’en une minute, Carcassonne perdait non seulement dans la bataille, son trosieme ligne Lopeti Timani sur carton rouge pour une charge coude en avant (48e), mais encaissait également un essai par le 3e ligne centre Hubert Texier, visiblement entaché d’un en-avant (7-24 à la 49e).
Nouvelle bronca du public de la vieille pépinière. Puis14-31. En infériorité numérique et accusant alors un déficit de dix-sept points, le fol espoir semblait cette fois s’envoler définitivement. Mais c’était sans compter sur des Canaris généreux à l’extrême. Contre vent et Rozier (du nom de M. l’arbitre, bien peu inspiré), avec la rentrée de sang frais et d’un Sir Johnny McPhillips tranchant, les Audois allaient tout renverser sur leur passage et alors véritablement marcher sur Soyaux-Angoulême. Gaëtan Pichon (63e), Yan Tabarot (68e) et Maxime Gianet (77e) visitaient tout à tour l’en-but charentais (35-31). Domec était en transe.
Et pouvait l’être car ses protégés ont réalisé un authentique exploit. Même s’ils restent lanterne rouge avec 17 points (à égalité de points avec Dax) et une longueur du Stade Montois, la course au maintien est plus que jamais lancée.
Publié le 19/12/2025 à 22:31 , mis à jour à 22:41
Pierre Cathala
https://www.lindependant.fr/2025/12/19/ ... 122074.php
Après neuf matches sans succès (8 défaites, un nul), les Canaris s’offrent leur 3e victoire de la saison et de l’air au classement. Hier soir, Carcassonne a battu Soyaux-Angoulême à Domec (35-31).
Quel scénario ! Quel dénouement… Quel brio… Après avoir été menés (7-24) à la 41e, puis (14-31) à la 49e, les Carcassonnais, pourtant en infériorité numérique consécutivement au carton rouge récolté par leur troisième ligne Lopeti Timani (48e) sont parvenus à renverser la table. Celle-là, elle est belle ! Bien mal récompensées de leurs efforts jusqu’alors, les troupes de Bernard Goutta et de Mehadji Tidjini ont conjuré le mauvais sort hier soir en venant à bout de Charentais plutôt à leur avantage ces derniers temps.
Mais Dieu qu’il a fallu s’employer face à l’une des meilleures formations de Pro D2 en déplacement (victoires à Brive, Mont-de-Marsan et Béziers). Faisant fi de tous leurs doutes du moment, les joueurs du chef-lieu audois ont livré une prestation dingue, solide et courageuse, avec toujours autant de générosité dans le combat et l’abnégation, mais cette fois avec le succès au bout. Le manager carcassonnais Bernard Goutta l’avait affirmé en conférence de presse d’avant match : "Je sens que notre saison va commencer contre Soyaux-Angoulême".
Dans ce match que ses troupes ne devaient pas perdre, les débats démarraient sur un faux rythme. Voire timidement. Vent dans le dos, Soyaux-Angoulême cherchait exclusivement à éclairer le jeu à grands coups de chandelles et à occuper le terrain adverse. Tandis que les Canaris cherchaient bien à répondre présents et à remonter le cuir, mais sans trop à y parvenir. Pire pour eux, ils se faisaient régulièrement prendre par la patrouille et donc M. Rozier, roi du sifflet hier soir. Et pas toujours, malheureusement des bonnes décisions.
Toujours est-il que cela permettait au canonnier visiteur Emmanuel Saubusse de faire apprécier son talent de buteur (0-6). Pour sa part, Carcassonne répliquait tout en puissance par son talonneur, plein de rage, Baptiste Moreno : (7-6 à la 22e). Le match était lancé. Hélas pour les Audois, M. Rozier ne captait pas deux en-avant successifs en attaque placée des visiteurs et validait sous la bronca de Domec à l’ailier Eoghan Barrett (7-13 à la 26e). Puis (7-19) à la pause sanctionnant l’indiscipline…
Constatée en tout cas par M. Rozier. Avec un retard de douze unités à la mi-temps, les Carcassonnais démarraient de la plus mauvaises des manières le second acte. Ils se loupaient à la réception du coup d’envoi, Soyaux-Angoulême récupérait le cuir, et son centre Ledua Mau exécutait un rasant payant pour son ailier Eoghan Barrett (7-24 à la 41e). Vexés, les Audois réagissaient certes quasi immédiatement. Une pénaltouche, puis une deuxième, et tout en puissance le deuxième ligne Sitaleki Timani passait la ligne (14-24). Le public de Domec reprenait un peu d’espoir. Un espoir de bien courte durée, puisqu’en une minute, Carcassonne perdait non seulement dans la bataille, son trosieme ligne Lopeti Timani sur carton rouge pour une charge coude en avant (48e), mais encaissait également un essai par le 3e ligne centre Hubert Texier, visiblement entaché d’un en-avant (7-24 à la 49e).
Nouvelle bronca du public de la vieille pépinière. Puis14-31. En infériorité numérique et accusant alors un déficit de dix-sept points, le fol espoir semblait cette fois s’envoler définitivement. Mais c’était sans compter sur des Canaris généreux à l’extrême. Contre vent et Rozier (du nom de M. l’arbitre, bien peu inspiré), avec la rentrée de sang frais et d’un Sir Johnny McPhillips tranchant, les Audois allaient tout renverser sur leur passage et alors véritablement marcher sur Soyaux-Angoulême. Gaëtan Pichon (63e), Yan Tabarot (68e) et Maxime Gianet (77e) visitaient tout à tour l’en-but charentais (35-31). Domec était en transe.
Et pouvait l’être car ses protégés ont réalisé un authentique exploit. Même s’ils restent lanterne rouge avec 17 points (à égalité de points avec Dax) et une longueur du Stade Montois, la course au maintien est plus que jamais lancée.
Publié le 19/12/2025 à 22:31 , mis à jour à 22:41
Pierre Cathala
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Re: S25/26 - J15 - US Carcassonne vs Soyaux Angoulême XV Charente
REPLAY. Pro D2 : L'US Carcassonne renverse Soyaux-Angoulême (35-31) dans un final totalement imprévisible, revivez le match
Publié le 19/12/2025 à 18:01 , mis à jour à 21:49
Patrick Missène
https://www.lindependant.fr/2025/12/19/ ... 120790.php
Publié le 19/12/2025 à 18:01 , mis à jour à 21:49
Patrick Missène
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Re: S25/26 - J15 - US Carcassonne vs Soyaux Angoulême XV Charente
Il suffit de tendre l'oreille après le premier essai de Soyaux en seconde mi temps, ou il y un tirage de maillot sur Railevu, je crois signalé a Rozier par l'arbitre de touche, auquel il répond non c'est bon t'inquiète va sous les poteaux, c'est bon t'inquiète merci les garsmisterrugby a écrit : 21 déc. 2025, 16:26C'est ça un en avant sur la passe longue et sur la dernière, la remise intérieur est limite..Pierre a écrit : 21 déc. 2025, 12:50 Je viens de regarder la 1ère mi-temps...on est beaucoup sanctionné, trop c est vrai, mais on fait quand même beaucoup de fautes..ce n'est pas un manque d envie...
Et sur l essai d Angoulême il y a un en avant d un mètre !!
ça pose interrogation
