Rugby – Nationale : la billetterie de la demi-finale du Racing Club Narbonnais face à Carcassonne ou Albi le 10 mai, au Parc des Sports, est ouverte !
https://www.lindependant.fr/2025/04/27/ ... 660834.php
La Presse
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Pierre
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Re: La Presse
Ils font comme la saison dernière....Daniel a écrit : 16 avr. 2025, 16:26la FFR en négociation pour la diffusion des phases finales de Nationale Une
https://vibrez-rugby.com/la-ffr-en-nego ... onale-une/
y arribaren !!!
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StadeToulousainXV
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Re: La Presse
Depuis un mois Didier Sanchez donne un coup de main à la mêlée carcassonnaise.
J'ai trouvé un article de 2016 qui décrit l'homme.
https://rugbyamateur.fr/rencontre-didie ... mme-melee/
J'ai trouvé un article de 2016 qui décrit l'homme.
https://rugbyamateur.fr/rencontre-didie ... mme-melee/
Re: La Presse
Top 14 – Carnet noir : Josaia Raisuqe (Castres) décède dans un tragique accident de la route, à un passage à niveau.
https://www.rugbyrama.fr/2025/05/08/top ... 682787.php
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Re: La Presse
C'est une bien triste nouvelle, quelle tragédie,condoléances à sa famille et amis et au CO.
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StadeToulousainXV
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Re: La Presse
Nationale : le staff du Racing Club Narbonnais limogé après l’échec en demi-finale contre Carcassonne
https://www.lindependant.fr/2025/05/15/ ... 697874.php
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Spectateurdu11
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Re: La Presse
J’avais loupé cette info mais j’y crois pas une secondeStadeToulousainXV a écrit : 09 mai 2025, 16:53 Rumeurs .... Johnny au CSBJ
https://www.ledauphine.com/sport/2025/0 ... -tablettes
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StadeToulousainXV
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Re: La Presse
Rugby – Chambéry – Carcassonne en finale de Nationale : "Des Narbonnais vont nous encourager pour ne plus nous rencontrer la saison prochaine !", lance le président de l’USC Benoît Mestre
À quelques heures de la finale de Nationale entre Chambéry et son club Carcassonne, le président Benoît Mestre a accepté de se confier à notre titre. "L’USC travaille sur l’arrivée de nouveaux investisseurs", assure-t-il.
Surpris de vous retrouver en finale ce samedi à Narbonne (19 h) au vu de cette saison compliquée avec notamment le limogeage de vos coaches Jean-Marc Aué Eric Escribano en novembre dernier ?
Quand vous limogez vos entraîneurs, c’est toujours un échec. D’ailleurs je veux rendre hommage au travail de Jean-Marc et Eric. Pour eux, ce renvoi a été très dur à digérer, c’est normal. Mais mon boulot, c’est de prendre des décisions.
Une décision qui au final aura rendu service à l’USC…
On avait ciblé Bernard Goutta. C’est Thierry Plane du Comité stratégique du club qui a eu son contact et notre vice-président Nicolas Regnier qui a mené les discussions. Ç’a été un travail d’équipe. Rendons à César…
Un mot sur le travail de votre nouveau manager Bernard Goutta ?
C’est un meneur d’hommes hors du commun. En plus d’avoir remotivé les joueurs, il a regonflé à bloc les dirigeants de ce club dont moi. Il a un projet à long terme qui englobe la formation. Il nous a donné un sacré coup de fouet. Salvateur !
Vous avancez-vous dans la peau du favori face à Chambéry qui a terminé premier de la saison régulière ?
C’est du 50-50. Chambéry a terminé premier mais nous, nous ne sommes pas arrivés là par hasard. Une chose est sûre, l’objectif, c’est de gagner la finale. Albi, Narbonne n’étaient que des étapes. À chaque fois, nous les avons franchies sereinement et avec humilité.
Vous n’avez jamais douté, vraiment ?
Si. On doute toujours à un moment donné dans le sport. Rien n’est écrit, ce serait trop simple. C’est la beauté du sport. J’ai douté le 28 février au soir après la défaite à Domec contre Massy (19-20). Puletua prend un rouge, on prend deux cartons bleus, deux jaunes… Après, on perd à Périgueux 20 à 6, on a le sentiment que tout se dérègle, et puis non. Goutta reprend la main. Et depuis Albi, on va crescendo
Disputer cette finale sur le terrain du frère ennemi narbonnais, c’est jubilatoire ?
On est simplement content et fier de jouer à Narbonne. Ce que l’USC a fait à Narbonne en demie, c’est grand. Et c’est vrai que de jouer cette finale à Bourg ou à Nice, ç’aurait eu moins de charme. On n’est pas à domicile à Narbonne mais on reste dans l’Aude. C’est important. Il y a aura des Narbonnais qui nous encourageront pour ne pas nous retrouver en travers de leur route la saison prochaine (grand sourire).
Si vous gagnez, vous remontez en Pro D2 avec le risque comme Nice (dernier avec 32 points de retard sur le 15e), cette saison à cet échelon, de connaître une saison cauchemardesque…
Je ne suis pas dans cet état d’esprit. Voilà deux ans qu’on travaille pour remonter en Pro D2. Et dans cette division, de 2010 à 2023, on y a passé 13 ans. On sait faire. On connaît. On est structuré et on sait l’exigence de ce niveau. De plus, la Pro D2, Goutta connaît (Colomiers 2012-2017, Agen 2022-2023). Encore une fois, Bernard a un projet clair. Il veut miser sur la jeunesse.
Le bruit court que des investisseurs anglais vont arriver à l’USC. Est-ce vrai ?
On travaille sur l’arrivée de nouveaux investisseurs, c’est une réalité. Ce n’est pas encore signé mais oui, on travaille pour pérenniser le club. On ne peut pas toujours avoir les mêmes actionnaires, il faut des gens nouveaux pour penser l’avenir.
Les historiques n’ont jamais lâché le club…
Je suis un président qui a toujours servi le club. Comme mon père Jojo avant, qui était là avant Jacques Talmier notre vice-président. J’ai été partenaire, puis actionnaire, dirigeant, vice-président, coprésident, président depuis 2023 et la descente en Nationale… Je voudrais relever que nous ne sommes que le huitième budget de Nationale. Donc ce qu’on fait, c’est beau. Et que si l’on en est là, c’est grâce aussi à la fidélité de certains, les Ursache, Carbou, Herjean, Manchia, Puletua, Gianet, Akhobadze.
C’est quoi le plus important le titre ou la montée ?
Les deux vont de pair. Un titre, ça compte. On en compte cinq à l’USC. Les titres soudent les générations.
Les coaches de l’USC qui vous ont marqué ?
Loulou Rouan avec le titre de 1975, Christian Labit évidemment, le grand artisan de notre arrivée en Pro D2 en 2010. Alex Jaffrès pour qui j’ai énormément d’affection.
Le manque de résultats de vos Espoirs, c’est un problème pour l’avenir ?
Oui, c’est compliqué. On travaille là-dessus. Il faut travailler sur nos structures d’accueil. Comme sur les structures réceptives de Domec. C’est là que les élus doivent nous soutenir. C’est fondamental. Le rugby est un enjeu social et sociétal et nous devons travailler davantage dans la ville, dans les quartiers, il faut aller chercher les jeunes mais pour cela nous devons leur offrir de quoi les loger. Nous devons également œuvrer avec l’Éducation nationale.
Le match que vous n’oublierez pas ?
Je n’oublierai jamais le 5 mai 2023, dernière journée de Pro D2 à l’issue de laquelle on est relégué en Nationale. Un cauchemar. On bat Provence, finalement à la fin c’est Soyaux qui se sauve en empochant le bonus à Oyonnax. Après, on nous fait miroiter un repêchage en lieu et place de Grenoble qui n’aboutit pas… Un cauchemar.
L'Indépendant
Publié le 16/05/2025 à 10:08
Nicolas Boussu
À quelques heures de la finale de Nationale entre Chambéry et son club Carcassonne, le président Benoît Mestre a accepté de se confier à notre titre. "L’USC travaille sur l’arrivée de nouveaux investisseurs", assure-t-il.
Surpris de vous retrouver en finale ce samedi à Narbonne (19 h) au vu de cette saison compliquée avec notamment le limogeage de vos coaches Jean-Marc Aué Eric Escribano en novembre dernier ?
Quand vous limogez vos entraîneurs, c’est toujours un échec. D’ailleurs je veux rendre hommage au travail de Jean-Marc et Eric. Pour eux, ce renvoi a été très dur à digérer, c’est normal. Mais mon boulot, c’est de prendre des décisions.
Une décision qui au final aura rendu service à l’USC…
On avait ciblé Bernard Goutta. C’est Thierry Plane du Comité stratégique du club qui a eu son contact et notre vice-président Nicolas Regnier qui a mené les discussions. Ç’a été un travail d’équipe. Rendons à César…
Un mot sur le travail de votre nouveau manager Bernard Goutta ?
C’est un meneur d’hommes hors du commun. En plus d’avoir remotivé les joueurs, il a regonflé à bloc les dirigeants de ce club dont moi. Il a un projet à long terme qui englobe la formation. Il nous a donné un sacré coup de fouet. Salvateur !
Vous avancez-vous dans la peau du favori face à Chambéry qui a terminé premier de la saison régulière ?
C’est du 50-50. Chambéry a terminé premier mais nous, nous ne sommes pas arrivés là par hasard. Une chose est sûre, l’objectif, c’est de gagner la finale. Albi, Narbonne n’étaient que des étapes. À chaque fois, nous les avons franchies sereinement et avec humilité.
Vous n’avez jamais douté, vraiment ?
Si. On doute toujours à un moment donné dans le sport. Rien n’est écrit, ce serait trop simple. C’est la beauté du sport. J’ai douté le 28 février au soir après la défaite à Domec contre Massy (19-20). Puletua prend un rouge, on prend deux cartons bleus, deux jaunes… Après, on perd à Périgueux 20 à 6, on a le sentiment que tout se dérègle, et puis non. Goutta reprend la main. Et depuis Albi, on va crescendo
Disputer cette finale sur le terrain du frère ennemi narbonnais, c’est jubilatoire ?
On est simplement content et fier de jouer à Narbonne. Ce que l’USC a fait à Narbonne en demie, c’est grand. Et c’est vrai que de jouer cette finale à Bourg ou à Nice, ç’aurait eu moins de charme. On n’est pas à domicile à Narbonne mais on reste dans l’Aude. C’est important. Il y a aura des Narbonnais qui nous encourageront pour ne pas nous retrouver en travers de leur route la saison prochaine (grand sourire).
Si vous gagnez, vous remontez en Pro D2 avec le risque comme Nice (dernier avec 32 points de retard sur le 15e), cette saison à cet échelon, de connaître une saison cauchemardesque…
Je ne suis pas dans cet état d’esprit. Voilà deux ans qu’on travaille pour remonter en Pro D2. Et dans cette division, de 2010 à 2023, on y a passé 13 ans. On sait faire. On connaît. On est structuré et on sait l’exigence de ce niveau. De plus, la Pro D2, Goutta connaît (Colomiers 2012-2017, Agen 2022-2023). Encore une fois, Bernard a un projet clair. Il veut miser sur la jeunesse.
Le bruit court que des investisseurs anglais vont arriver à l’USC. Est-ce vrai ?
On travaille sur l’arrivée de nouveaux investisseurs, c’est une réalité. Ce n’est pas encore signé mais oui, on travaille pour pérenniser le club. On ne peut pas toujours avoir les mêmes actionnaires, il faut des gens nouveaux pour penser l’avenir.
Les historiques n’ont jamais lâché le club…
Je suis un président qui a toujours servi le club. Comme mon père Jojo avant, qui était là avant Jacques Talmier notre vice-président. J’ai été partenaire, puis actionnaire, dirigeant, vice-président, coprésident, président depuis 2023 et la descente en Nationale… Je voudrais relever que nous ne sommes que le huitième budget de Nationale. Donc ce qu’on fait, c’est beau. Et que si l’on en est là, c’est grâce aussi à la fidélité de certains, les Ursache, Carbou, Herjean, Manchia, Puletua, Gianet, Akhobadze.
C’est quoi le plus important le titre ou la montée ?
Les deux vont de pair. Un titre, ça compte. On en compte cinq à l’USC. Les titres soudent les générations.
Les coaches de l’USC qui vous ont marqué ?
Loulou Rouan avec le titre de 1975, Christian Labit évidemment, le grand artisan de notre arrivée en Pro D2 en 2010. Alex Jaffrès pour qui j’ai énormément d’affection.
Le manque de résultats de vos Espoirs, c’est un problème pour l’avenir ?
Oui, c’est compliqué. On travaille là-dessus. Il faut travailler sur nos structures d’accueil. Comme sur les structures réceptives de Domec. C’est là que les élus doivent nous soutenir. C’est fondamental. Le rugby est un enjeu social et sociétal et nous devons travailler davantage dans la ville, dans les quartiers, il faut aller chercher les jeunes mais pour cela nous devons leur offrir de quoi les loger. Nous devons également œuvrer avec l’Éducation nationale.
Le match que vous n’oublierez pas ?
Je n’oublierai jamais le 5 mai 2023, dernière journée de Pro D2 à l’issue de laquelle on est relégué en Nationale. Un cauchemar. On bat Provence, finalement à la fin c’est Soyaux qui se sauve en empochant le bonus à Oyonnax. Après, on nous fait miroiter un repêchage en lieu et place de Grenoble qui n’aboutit pas… Un cauchemar.
L'Indépendant
Publié le 16/05/2025 à 10:08
Nicolas Boussu
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- Enregistré le : 20 avr. 2018, 17:55
Re: La Presse
Des news sur ce potentiel investisseur ? Qui serait-il ?
